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Paul - Chaussures Mocassin Cuir Noir
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Paul - Chaussures Mocassin Cuir Noir

310.00€ Prix Max Sauveur
330.00€ Prix du marché
fin de la vente dans:
Début de la précommande le 26 mars à 10h paires commandées

Cuir de veau français
Semelle Commando garantie à vie (oui, à vie)
Fabriquées au Portugal 
Confortables, souples et polyvalentes

 


CONSEIL POINTURE
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Vous ne trouvez pas votre pointure ? Envoyez un mail à hello@maxsauveur.com
 
AUTRES COULEURS DISPONIBLES





Le point de départ


Un défi de taille : conjuguer la vie de Paul

Le Mocassin, la chaussure homme en cuir noir avec semelle commando.

Tout part de son quotidien

Après quelques discussions avec Paul, j’ai vite remarqué que ses journées étaient bien remplies :


  • De 6h à 8h, il est papa de jeunes enfants
  • De 9h à 11h, c’est un archéologue, qui fouille les hangars de ses fournisseurs, à la recherche des prochaines pépites de sa collection
  • De 13h à 15h, il fait un travail physique, déchargeant des palettes de marchandises
  • De 15h à 18h, il se mue en conseiller et fait découvrir ses dernières trouvailles à ses clients…
  • De 18 à 20h, il devient comptable…

 

 Après l’avoir observé, j’ai donc compris qu’il lui fallait un modèle versatile.

Un modèle ou la praticité primerait sur l'esthétique.

Bien sûr, je n’avais pas choisi la bonne personne pour m’en tirer aussi facilement : Paul est une encyclopédie vivante de mode Vintage, et, bien sûr, il avait une idée en tête…

... et cette idée, c'était un mocassin.  

Et pas n’importe quel mocassin, un Penny Loafer, un mocassin à l'héritage preppy (on parlera de son histoire fascinante juste en-dessous).

En revanche, rien de l’utilisation que Paul allait en faire ne collait vraiment avec l’esprit “mocassin

Il fallait donc se poser et réfléchir…

Episode 1 - La genèse du Super Moc Paul
Episode 2 - Le résultat final
L'envie de Paul

Voici à quoi notre notre réflexion a abouti :

“Si on part sur un mocassin, il faut l’armer pour un quotidien rugueux, digne d’un Indiana Jones des temps modernes… mais, en même temps, il faut qu’il se marie parfaitement avec un costume ”

Pas facile, mais qui ne tente rien n’a rien.

On a donc planché sur quelques dessins et nous avons lancé la production de 3 prototypes.

Et… la réalité était moins attrayante que nos croquis :

Tous nos prototypes penchaient trop du côté “rugueux” et pas assez du côté “casual-chic/vacances” qui fait le charme d’un mocassin.

Faire vivre l’envie de Paul et son besoin au sein de la même chaussure s'avérait être un sacré exercice d'équilibriste :  

  • Il nous fallait une semelle balaise mais légère à porter,
  • un montage solide, qui résiste au temps ,
  • une forme confortable qui n’allonge pas le pied, mais qui ne fait pas “papy” pour autant…

Après des semaines de travail acharné, on a finalement réussi à sortir un mocassin qui respecte cet équilibre.

Un Penny Loafer pour partir en forêt le matin et aller à un gala le soir.

Cela nous a demandé de faire plusieurs choses que très peu de marques de chaussures osent faire (comme la création d’une semelle sur-mesure par exemple), mais on en reparle plus bas.

Avant, j’aimerais vous parler des origines de cette chaussure, que j’aimais déjà mais que Paul m’a fait découvrir à travers les anecdotes historiques incroyables qu’il m’a partagées.

Histoire du penny loafer

Élaboré par les Amérindiens il y a plus de 5000 ans, le mocassin est probablement le modèle de chaussure le plus vieux du monde.

Sa légèreté permettait à ces derniers de chasser discrètement en forêt.

Depuis maintenant quelques années, cette forme a relativement évolué et le mocassin est devenu cette élégante chaussure sans lacet.

On peut distinguer aujourd'hui 3 variations qui font d’elle une forme iconique.

Le mocassin à pampilles, le Driving loafer (car shoe) et le Penny Loafer.

Je pourrais vous écrire un roman sur ces 3 familles mais je préfère m’attarder sur le modèle qui nous intéresse, le Penny Loafer.

Cette version est une réinterprétation des mocassins norvégiens (la chaussure des pêcheurs scandinaves) par les Américains au début des années 1930 et notamment par la marque G.H Bass.

Elle est reconnaissable par l'espace situé sur la pièce de cuir au niveau du cou-de-pied (appelée barrette). Cet espace rond était idéal pour insérer une pièce comme un penny ...d’où le nom Penny Loafer.

Etrange en effet... laissez moi vous raconter la suite.

Un modèle iconique pour négocier des traités et faire le MoonWalk

Le Penny Loafer fut rapidement adopté par les collégiens américains sur les campus accompagnant le style Ivy League.

Le président J.F Kennedy en était l’ambassadeur avec ses lunettes de soleil, son blazer tombant et son pantalon ample en lin blanc taillé parfaitement à ses mocassins.

Michael Jackson en était lui aussi dans un autre style, un emblématique représentant, avec ses chaussettes à paillettes.

Au fil des années, ce mocassin est devenu l’une des chaussures indispensable dans une garde robe à tel point qu’il concurrence dans les vestiaires, les modèles habillés comme le Richelieu ou le Derby.

Ce que j’aime avec le mocassin, c’est qu’il est capable d’avoir plusieurs personnalités, à la fois chic pour un style preppy ou rebelle pour casser un look trop classique.

Comme dans les années 60 chez les jeunes parisiens du XVIe qui empruntaient les mocassins de leurs parents pour les combiner avec leurs Levi’s 501.

Paul, Brut.


L'anatomie du Super Moc' Paul


Une forme qui s’adapte à tous

La forme du mocassin Paul, c'était notre 1er défi.

Dans une paire de chaussure, la forme c'est la base qui définit tout ce qui va suivre… pourtant, on a tendance à l'oublier.

Dans notre cas, il nous fallait une forme qui allie confort, solidité… mais sans faire chaussure de papy ou de randonnée.

Un peu perdus après nos 3 premiers prototypes, j’ai demandé conseil au king, Armindo (notre chef d’atelier).

En évoquant les mots “aisance” et “confort” au niveau du cou-de-pied, Armindo m’a immédiatement orienté vers la toute première forme que son père a conçue dans les années 50, au début de la création de l’atelier.

A l’époque, un homme avait dans son vestiaire qu’une seule paire de chaussures : il avait donc intérêt à être bien à l’intérieur !

Alors, bien sûr, cette forme, il fallait la mettre au goût du jour, et c’est ce que nous avons fait, au courant de quelques nuits blanches avec Rudy …

Le résultat ?  une forme qui respecte l'héritage du mocassin, aussi confortable qu’un chausson… avec le style en plus !

Petits, grands, larges, fins, volumineux... elles conviendront à tous les pieds.

Notre cuir : Les Tanneries du Puy, la meilleure tannerie de France, tout simplement

Impossible pour nous de faire dans la demie-mesure (surtout après avoir autant travaillé chaque détail de la paire !)

On voulait la crème de la crème. Alors quand on souhaite le meilleur, autant prendre les meilleurs.

On est donc allé du côté de les Tanneries du Puy en Auvergne, une institution. Ce sont les spécialistes depuis 1946 dans le tannage de cuir de veau. Elle fournissait même à une époque la maison Weston.

Enfin, l'avantage de travailler avec un atelier français c’est son petit prix ! 🤣 Non je déconne, le cuir est parmi les plus chers mais il vaut largement son prix.

Non, l’avantage c’est qu’on a une garantie d’avoir le un cuir le plus “propre” possible.

Plus la distance est courte vers notre atelier au Portugal, moins nous prenons de risque que les peaux s'abîment pendant le transport.

Cuir pleine fleur, évidemment !

Nous avons sélectionné pour le cuir de la tige (le cuir du dessus de la chaussure), leur cuir de veau pleine fleur appelé “box calf”.

C’est la partie la plus noble et la plus robuste du veau (qui se trouve sur le dos), difficile de faire mieux.

Même après 15 années de cirage, il ne bougera pas.

Il se patinera avec le temps et sera plus beau d’années en années, comme une bonne bouteille de vin...

Vous pourrez même donner ce moc’ à vos petits enfants.

C’est solide et élégant... ce cuir résonne comme une symphonie de Mozart.

Fabriquées à Guimarães, par notre ami depuis de plus de 30 ans

La confection de ce moc est confiée à un atelier familial situé au Portugal, non loin de Porto.

Les 120 étapes nécessaires à la fabrication de la paire de chaussures sont réalisées à la main, par des artisans expérimentés, qui travaillent dans cet atelier parfois depuis plus de 40 ans.

Aucune chance pour nous d’être déçus de la qualité de chaque paire qui en sort.

Cet atelier, je le porte dans mon "coracaõ", je le fréquente depuis que je sais marcher... alors plutôt que d'écrire une lettre d'amour, j'ai préféré tourner une vidéo qui te raconte mon idylle.

Une semelle d'alpiniste de 1937... totalement remise au goût du jour !

Paul m’avait parlé lors de nos échanges d’une semelle d'alpiniste italienne qu’il adore.

C’était l’une des premières semelles commando, la carrarmato créée par Vibram en 1937.

Mais malheureusement, Vibram ne la propose plus dans son catalogue...

Pour être franc, je ne voulais pas partir sur la carrarmato pour 3 raisons :

  • Elles étaient vraiment balaises (genre encore plus balaises que la semelle de nos Luca !)
  • Ensuite, les délais de livraison étaient trop longs du côté de la marque Vibram pour prendre un modèle similaire à l'original. Hors de question de vous faire patienter 4 mois !
  • Enfin je voulais innover en créant une semelle sur-mesure pour sublimer la vision de Paul (et aussi pour me faire un kiff : ça fait longtemps que je voulais créer MA propre semelle comme toutes les grandes maisons, même si ça coûte un peu plus cher.)

Armindo m’a présenté un petit atelier proche du sien à Guimaraes, spécialisé dans la confection de semelles. Cet artisan s’est rapproché le plus possible du modèle original rêvé par Paul.

Nous avions trouvé (enfin, créé) la perle rare, une semelle sur-mesure retravaillée reprenant l’ADN de la semelle carrarmato qui fait vibrer Paul.

En plus de cela, nous avons réussi à alléger la semelle avec un caoutchouc moins lourd que l'originale pour améliorer le confort et la souplesse (heureusement on a fait des progrès depuis 1937 !)

Un cousu rare et complexe :
le Goodyear Stormwelt… Flex

La semelle a beau être souple mais sans un bon montage cela ne sert à rien.

C’est comme monter les roues d’un 4x4 LandRover sur une Fiat 500, ça n’a pas de sens.

Alors on a fait un truc assez cool, un truc de geek de la chaussure.

Un GOODYEAR FLEX.

A l’origine, le goodyear est un montage qui se veut “généreux” avec ses doubles coutures, ce qui nous arrangeait bien en terme de style.

En revanche, avec ses deux couches de cuir, le goodyear n’est pas vraiment flexible...

Et le problème s’aggrave quand on passe du “Goodyear” au “Goodyear Stormwelt” ( = c'est-à-dire quand on rajoute ENCORE une bande de cuir au montage, ayant pour objectif de rendre la chaussure totalement étanche…)

Fatalement, toutes ces couches (double semelles Goodyear + la couche du Stormwelt) rendent le mocassin aussi flexible qu’une barre de fer.

Mais c'était sans compter sur la magie d’Armindo !

Armindo a innové pour garder toute la solidité d’un cousu Goodyear sans perdre pour autant la souplesse avec un montage de génie, qu’il a appelé Goodyear Flex.

Nous avons donc combiné différents procédés de montages et de matériaux afin de rendre votre mocassin aussi souple que robuste.

Je ne vais pas vous dire qu'on est les seuls à le faire mais très peu d'ateliers se lancent dans ce genre de montage car il demande beaucoup de savoir-faire (105 étapes manuelles) et peut devenir un gouffre financier si il est mal maîtrisé.

Évidemment, ce n’est pas notre cas car nous travaillons avec les pionniers du montage Goodyear au Portugal. Aucune crainte à avoir.

C’est ce montage qui nous garantit la bonne balance entre souplesse et robustesse.

Trépointe (= contour de la semelle) bien large, pour un mocassin plus “rebelle”

Pour appuyer ce côté “military” de notre semelle, nous avons doté la Paul d’une large trépointe.

Sans cette trépointe, le mocassin pouvait paraître trop lisse.  

Lorsque vous regardez la paire du dessus, vous avez l’impression que la semelle s’étale sur chaque côté.

Nous avons demandé à l’atelier d’élargir les standards de trépointes qu’ils avaient l’habitude de poser…

Et nous sommes vraiment très contents du résultat.

La trépointe donne un volume à la paire et l’assoie juste comme il faut : on a alors une paire ni trop fine, ni trop imposante, parfaitement équilibrée.

Qu’est-ce que le Storm Welt ?

C’est une petite bande de cuir posée sur la trépointe, qui évitera aux gouttes d’eau les plus rebelles de s’infiltrer dans votre chaussure.

Comme chez Max Sauveur, on aime le détail, nous avons orné cette bande de cuir de petits traits verticaux pour donner plus de caractère au moc’ Paul.

Doublure cuir pour absorber l'humidité

Le confort sera présent également à l’intérieur de la chaussure.

Nous avons choisi de doubler l’intérieur de la chaussure avec une semelle en cuir de veau, tout doux, qui absorbe l’humidité de vos pieds et les garde au chaud.

Nous partons du principe que vous porterez cette paire souvent, alors autant qu’elle soit confortable non ?

Car avec des mocassins, il est tout à fait possible d’être pieds nus … mais ça, je vous en parle plus bas.

Noir c’est noir !

Nous n’allons pas nous étaler très longtemps sur le sujet.

Quand il a fallu se pencher sur le coloris, Paul a rapidement souhaité du noir.

Oui, rien d’autre que le noir.

Il voulait une paire sans prise de tête à pouvoir enfiler facilement tous les matins avec un max de tenues et par tous les temps.

Seul le noir cochait toutes les cases, il se porte avec tout (la preuve en image ci-dessous).

Alors, jai souvent entendu par certaines personnes que le cuir noir était triste... ou difficile à porter.

Je suis entièrement d’accord… quand il s’agit de modèles de chaussures “classiques” (ex : richelieu bout droit, derby, chelsea boots) !

Par contre, si le modèle est poussé (esthétiquement parlant) alors un noir absolu le rendra facile à porter.

Bref, associé à l’esthétique de notre mocassin, le noir est la couleur parfaite.


Comment les porter ?


La seule chaussure habillée qu’il est possible de porter en short ou en jogging, c’est pour dire !

Alors, j’essaye de toujours faire en sorte que les modèles Max Sauveur soient faciles à associer avec un grand nombre de tenues... 

Mais je peux d’ores et déjà vous dire qu’on ne fera pas PLUS polyvalent que le super Moc’ Paul.

Oui, on se mouille...

Le moc' permet de basculer sans effort et sans compromis d’un style à l’autre.

Avec un t-shirt blanc et un levi’s 501 ou bien en costume, il ne sera pas seulement “adapté” mais il excellera dans tous les situations.

En chino, en short, avec un pantalon à pinces, en été, sous -10 degrés…

Le “PAUL” sera votre bras droit au quotidien.

C’est un terrain de jeu génial en termes de style... vous pourrez facilement jouer avec les silhouettes pour les porter avec quasiment toutes vos tenues.

Avec ou sans chaussettes ?

Désolé, on a pas la réponse...

Par définition, le mocassin est une chaussure décontractée et estivale même si avec le Super Moc' Paul, il est tout à fait possible de le porter avec des tenues plus formelles en hiver.

Il tolère très bien le port de mis bas ou tout simplement l’absence de chaussette.

Si vous souhaitez le porter de manière plus habillée, alors optez pour une paire de chaussettes fines.

Vous pourrez même vous amuser en variant les coloris de chaussettes pour plus d'originalité...

Paul et moi on a un penchant pour les chaussettes blanches.

Peu importe, c’est vous qui décidez


Alors, que faire maintenant ?


LIVRAISON & retour

LIVRAISON

En France métropolitaine la livraison en point relais est de 7,5€ et 15€ pour une livraison à domicile, que vous preniez 1 ou 10 paires de chaussures.
Rdv sur la page Livraison & Retours pour plus d’informations.


RETOUR

Les frais de retour sont à la charge du client dans le cas où vous souhaitez un remboursement. Ils sont à notre charge dans le cas des avoirs, si vous souhaitez échanger une taille ou commander un autre produit.
Rdv sur la page Livraison & Retours pour plus d’informations.

Quelle pointure choisir ?

Le Super Moc' Paul chausse normalement.

Si vous avez déjà une paire Max Sauveur prenez une demi pointure inférieure par rapport à votre pointure habituelle.

  • Par exemple si vous possédez une paire de Boots Wayne en 42, sélectionnez un 41,5.

Si c'est votre première paire de Max Sauveur, prenez votre pointure habituelle.

  • Si vous êtes entre 2 pointures, prenez une demi pointure inférieure. (Par exemple vous faites 27,4 cm prenez un 42,5)
  • Si vous portez des semelles orthopédiques, prenez la taille au dessus.

(Note : tout ceci vaut uniquement pour les chaussures de ville... ne prenez JAMAIS en référence votre pointure “basket”)

“Et si je suis vraiment perdu ?”

Comme j’aime le vrai service, on peut discuter de votre pointure via e-mail à hello@maxsauveur.com

Ça vous permettra de ne pas vous tromper et je l’espère, de trouver la pointure parfaite.

(Avant de m’écrire, suivez la procédure via ce lien pour mesurer votre pied cela me permettra de vous aider le mieux possible)

comment bien les entretenir ?

Des embauchoirs, toujours :
 
Je le répète toujours, de bons embauchoirs permettront à vos souliers de conserver leur forme le plus longtemps possible.
Sachant que cette paire est faite pour braver les intempéries, il ne faudra pas oublier de placer des embauchoirs en cèdre rouge pour absorber l'humidité afin qu’elle ne stagne pas dans le cuir.

Surtout, ne faites jamais sécher vos chaussures près d’un radiateur, les embauchoirs s’occupent de tout.  
Crème nettoyante :
Comme votre peau, le cuir a besoin d’être hydraté de temps en temps. Je conseille d’appliquer une noisette de crème nettoyante sur vos chaussures une fois par mois. Cela permet à la fois de retirer toutes les impuretés et de nourrir le cuir.
 
Bonus :
Si vous souhaitez donner un aspect plus noir à vos chaussures, vous pouvez, après avoir passé votre crème nettoyante, appliquer du cirage noir qui donnera encore plus de contraste à votre chaussure. Et si cela ne vous plait pas, ce n’est pas irréversible, vous pouvez retirer ledit cirage en renouvelant l’application de la crème nettoyante.