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Paul - Chaussures Mocassin Cuir Bordeaux Coutures Blanches
Paul - Chaussures Mocassin Cuir Bordeaux Coutures Blanches
Paul - Chaussures Mocassin Cuir Bordeaux Coutures Blanches
Paul - Chaussures Mocassin Cuir Bordeaux Coutures Blanches
Paul - Chaussures Mocassin Cuir Bordeaux Coutures Blanches
Paul - Chaussures Mocassin Cuir Bordeaux Coutures Blanches

Paul - Chaussures Mocassin Cuir Bordeaux Coutures Blanches

310.00€ Prix Max Sauveur
375.00€ Prix du marché
fin de la vente dans:
Début de la précommande le 26 mars à 10h paires commandées

Cuir de veau plein fleur - Espagne
Semelle Commando garantie à vie (oui, à vie)
Fabriquées au Portugal 
Confortables, souples et polyvalentes

 


L I V R A I S O N D E B U T   N O V E M B R E

CONSEIL POINTURE

Prenez votre pointure habituelle. Vous ne trouvez pas votre pointure ? Envoyez un mail à hello@maxsauveur.com

Le Mocassin Paul, la chaussure homme en cuir Bordeaux mat avec coutures blanches contrastées.

Découvrez l'élégance des chaussures en cuir de veau, fabriquées à la main à Guimarães, la capitale européenne de la chaussure. Nos chaussures offrent un confort immédiat grâce à leur garnissage en liège et sont conçues pour durer toute une vie. Dotées d'une doublure en cuir de vachette et d'un montage Goodyear Storm Welt imperméable, elles sont entièrement ressemelables. Leur semelle commando robuste assure une adhérence fiable. Optez pour l'excellence du cuir et de l'artisanat portugais.

DETAILS
  • Cuir veau box calf, finition mat
  • Doublure en cuir de vachette
  • Fabriquées à la main à Guimarães, au Portugal, la capitale européenne de la chaussure.
  • Montage Goodyear Storm Welt imperméable
  • Chaussure entièrement ressemelable
  • Semelle commando robuste et garantie à vie
  • Semelle intérieure en cuir entièrement doublée.
  • Immédiatement confortable grace à son garnissage en liège et
Histoire du mocassin Penny loafer

Élaboré par les Amérindiens il y a plus de 5000 ans, le mocassin est probablement le modèle de chaussure le plus vieux du monde.

Sa légèreté permettait à ces derniers de chasser discrètement en forêt.

Depuis maintenant quelques années, cette forme a relativement évolué et le mocassin est devenu cette élégante chaussure sans lacet.

On peut distinguer aujourd'hui 3 variations qui font d’elle une forme iconique.

Le mocassin à pampilles, le Driving loafer (car shoe) et le Penny Loafer.

deJe pourrais vous écrire un roman sur ces 3 familles mais je préfère m’attarder sur le modèle qui nous intéresse, le Penny Loafer.

Cette version est une réinterprétation des mocassins norvégiens (la chaussure des pêcheurs scandinaves) par les Américains au début des années 1930 et notamment par la marque G.H Bass.

Elle est reconnaissable par l'espace situé sur la pièce de cuir au niveau du cou-de-pied (appelée barrette). Cet espace rond était idéal pour insérer une pièce comme un penny ...d’où le nom Penny Loafer.

Etrange en effet... laissez moi vous raconter la suite.

Un modèle iconique pour négocier des traités et faire le MoonWalk

Le Penny Loafer fut rapidement adopté par les collégiens américains sur les campus accompagnant le style Ivy League.

Le président J.F Kennedy en était l’ambassadeur avec ses lunettes de soleil, son blazer tombant et son pantalon ample en lin blanc taillé parfaitement à ses mocassins.

Michael Jackson en était lui aussi dans un autre style, un emblématique représentant, avec ses chaussettes à paillettes.

Au fil des années, ce mocassin est devenu l’une des chaussures indispensable dans une garde robe à tel point qu’il concurrence dans les vestiaires, les modèles habillés comme le Richelieu ou le Derby.


L'anatomie du Moc Paul


Une forme qui s’adapte à tous les pieds

La forme du mocassin Paul, c'était notre 1er défi.

Dans une paire de chaussure, la forme c'est la base qui définit tout ce qui va suivre… pourtant, on a tendance à l'oublier.

Dans notre cas, il nous fallait une forme qui allie confort, solidité… mais sans faire chaussure de papy ou de randonnée.

Un peu perdus après nos 3 premiers prototypes, j’ai demandé conseil au king, Armindo (notre chef d’atelier).

En évoquant les mots “aisance” et “confort” au niveau du cou-de-pied, Armindo m’a immédiatement orienté vers la toute première forme que son père a conçue dans les années 50, au début de la création de l’atelier.

A l’époque, un homme avait dans son vestiaire qu’une seule paire de chaussures : il avait donc intérêt à être bien à l’intérieur !

Alors, bien sûr, cette forme, il fallait la mettre au goût du jour, et c’est ce que nous avons fait, au courant de quelques nuits blanches avec Rudy …

Le résultat ?  une forme qui respecte l'héritage du mocassin, aussi confortable qu’un chausson… avec le style en plus !

Petits, grands, larges, fins, volumineux... elles conviendront à tous les pieds.

Coutures contrastées, sophistication discrète

J'aime les détails discrets, ceux qui sublime un modèle.

Les coutures contrastées ici jouent parfaitement ce rôle.

Elles viennent révelées subtilement les formes arrondies du moc paul, c'est raffinée sans être ostentatoire.

Vous aurez au pied un mocassin qui sera un véritable accessoire pour vous mettre discètement en valeur sans trop en faire.

Tout ce qu'on aime.

Un cuir plein fleur bordeaux mat, pour une touche contemporaine

Quand j'ai imaginé cette nouvelle déclinaison du Paul, je voulais apporter une autre option à notre coloris noir déjà existant.

J'ai donc trouvé un cuir bordeaux plein fleur bien mat (non brillant comme les cuirs box calf classiques) qui peut faire penser à cuir cordovan.

IIl permet de garder un bon équilibre visuel avec les coutures blanches contrastées.

Avec ce cuir mat, on se rapproche plus du mocassin "intemporel"... plus adapté à un style contemporain pour ceux qui apprécient la simplicité et la fonctionnalité dans leur garde-robe.

 

Ses caractéristiques

Nous avons sélectionné un cuir de veau (boxcalf) plein fleur de la tannerie Picusa avec laquelle nous avons l'habitude de travailler depuis 4 ans maintenant.

Ce rendu mat est obtenu par un processus bien précis avec nottament :

  • un ajustement des temps de trempage et des concentrations de tanins
  • un Ponçage léger de la surface pour réduire le brillant.
  • un Brossage avec des brosses spéciales pour créer une texture mate.
  • un contrôle précis de la température et de l'humidité pendant le séchage pour éviter le brillant.

On ne va pas tout vous détailler mais en résumé, ce cuir c'est un choix de qualité.

Ah oui, cerise sur le gâteau... on a aussi demandé à ce qu'il soit plus robuste en demandant une épaisseur de 1,6mm (au lieu de 1,3mm pour les autres cuirs).

De quoi pouvoir vous acroupir à volonté et réparer votre pneus crevé en plein desert !

Une semelle d'alpiniste de 1937... totalement remise au goût du jour !

 

Paul m’avait parlé lors de nos échanges d’une semelle d'alpiniste italienne qu’il adore.

C’était l’une des premières semelles commando, la carrarmato créée par Vibram en 1937.

Mais malheureusement, Vibram ne la propose plus dans son catalogue...

Pour être franc, je ne voulais pas partir sur la carrarmato pour 3 raisons :

  • Elles étaient vraiment balaises (genre encore plus balaises que la semelle de nos Luca !)
  • Ensuite, les délais de livraison étaient trop longs du côté de la marque Vibram pour prendre un modèle similaire à l'original. Hors de question de vous faire patienter 4 mois !
  • Enfin je voulais innover en créant une semelle sur-mesure pour sublimer la vision de Paul (et aussi pour me faire un kiff : ça fait longtemps que je voulais créer MA propre semelle comme toutes les grandes maisons, même si ça coûte un peu plus cher.)


    Armindo m’a présenté un petit atelier proche du sien à Guimaraes, spécialisé dans la confection de semelles. Cet artisan s’est rapproché le plus possible du modèle original rêvé par Paul.

    Nous avions trouvé (enfin, créé) la perle rare, une semelle sur-mesure retravaillée reprenant l’ADN de la semelle carrarmato qui fait vibrer Paul.

    En plus de cela, nous avons réussi à alléger la semelle avec un caoutchouc moins lourd que l'originale pour améliorer le confort et la souplesse (heureusement on a fait des progrès depuis 1937 !)

 

Un cousu rare et complexe :
le Goodyear Stormwelt… Flex

La semelle a beau être souple mais sans un bon montage cela ne sert à rien.

C’est comme monter les roues d’un 4x4 LandRover sur une Fiat 500, ça n’a pas de sens.

Alors on a fait un truc assez cool, un truc de geek de la chaussure.

Un GOODYEAR FLEX.

A l’origine, le goodyear est un montage qui se veut “généreux” avec ses doubles coutures, ce qui nous arrangeait bien en terme de style.

En revanche, avec ses deux couches de cuir, le goodyear n’est pas vraiment flexible...

Et le problème s’aggrave quand on passe du “Goodyear” au “Goodyear Stormwelt” ( = c'est-à-dire quand on rajoute ENCORE une bande de cuir au montage, ayant pour objectif de rendre la chaussure totalement étanche…)

Fatalement, toutes ces couches (double semelles Goodyear + la couche du Stormwelt) rendent le mocassin aussi flexible qu’une barre de fer.

Mais c'était sans compter sur la magie d’Armindo !

Armindo a innové pour garder toute la solidité d’un cousu Goodyear sans perdre pour autant la souplesse avec un montage de génie, qu’il a appelé Goodyear Flex.

Nous avons donc combiné différents procédés de montages et de matériaux afin de rendre votre mocassin aussi souple que robuste.

Je ne vais pas vous dire qu'on est les seuls à le faire mais très peu d'ateliers se lancent dans ce genre de montage car il demande beaucoup de savoir-faire (105 étapes manuelles) et peut devenir un gouffre financier si il est mal maîtrisé.

Évidemment, ce n’est pas notre cas car nous travaillons avec les pionniers du montage Goodyear au Portugal. Aucune crainte à avoir.

C’est ce montage qui nous garantit la bonne balance entre souplesse et robustesse.

 

Trépointe (= contour de la semelle) bien large, pour un mocassin plus “rebelle”

Pour appuyer ce côté “military” de notre semelle, nous avons doté la Paul d’une large trépointe.

Sans cette trépointe, le mocassin pouvait paraître trop lisse.  

Lorsque vous regardez la paire du dessus, vous avez l’impression que la semelle s’étale sur chaque côté.

Nous avons demandé à l’atelier d’élargir les standards de trépointes qu’ils avaient l’habitude de poser…

Et nous sommes vraiment très contents du résultat.

La trépointe donne un volume à la paire et l’assoie juste comme il faut : on a alors une paire ni trop fine, ni trop imposante, parfaitement équilibrée.

 

 

Doublure cuir pour absorber l'humidité

Le confort sera présent également à l’intérieur de la chaussure.

Nous avons choisi de doubler l’intérieur de la chaussure avec une semelle en cuir de veau, tout doux, qui absorbe l’humidité de vos pieds et les garde au chaud.

Nous partons du principe que vous porterez cette paire souvent, alors autant qu’elle soit confortable non ?

Car avec des mocassins, il est tout à fait possible d’être pieds nus … mais ça, je vous en parle plus bas.

 

 

Fabriquées au Portugal

La confection de ce blucher est confiée à un atelier familial situé au Portugal, non loin de Porto.
 
Les 125 étapes nécessaires à la fabrication de la paire de chaussures sont réalisées à la main, par des artisans expérimentés, qui travaillent dans cet atelier parfois depuis plus de 40 ans.
 
Aucune chance pour nous d’être déçus de la qualité de chaque paire qui en sort.
 
Cet atelier, je le porte dans mon "coracaõ", je le fréquente depuis que je sais marcher... alors plutôt que d'écrire une lettre d'amour, j'ai préféré tourner une vidéo qui te raconte mon idylle.

Livraison et retours

LIVRAISON

En France métropolitaine la livraison en point relais est gratuite à partir de 265€.

En dessous elle est de 9,50 en point relais et 15€ pour une livraison à domicile, que vous preniez 1 ou 10 paires de chaussures.


Rdv sur la page Livraison & Retours pour plus d’informations.


RETOUR

Rendez-vous sur la page Livraison & Retours pour plus d’informations.

Quelle pointure choisir ?

Le Paul chausse normalement.

Si vous avez déjà une paire Max Sauveur prenez une demi pointure inférieure par rapport à votre pointure habituelle.

  • Par exemple si vous possédez une paire de Boots Wayne en 42, sélectionnez un 41,5.

Si c'est votre première paire de Max Sauveur, prenez votre pointure habituelle.

  • Si vous êtes entre 2 pointures, prenez une demi pointure inférieure. (Par exemple vous faites 27,4 cm prenez un 42,5)
  • Si vous portez des semelles orthopédiques, prenez la taille au dessus.

(Note : tout ceci vaut uniquement pour les chaussures de ville... ne prenez JAMAIS en référence votre pointure “basket”)

“Et si je suis vraiment perdu ?”

Comme j’aime le vrai service, on peut discuter de votre pointure via e-mail à hello@maxsauveur.com

Ça vous permettra de ne pas vous tromper et je l’espère, de trouver la pointure parfaite.

(Avant de m’écrire, suivez la procédure via ce lien pour mesurer votre pied cela me permettra de vous donner un conseil précis)

comment bien les entretenir ?

Des embauchoirs, toujours :
 
Je le répète toujours, de bons embauchoirs permettront à vos souliers de conserver leur forme le plus longtemps possible.
Sachant que cette paire est faite pour braver les intempéries, il ne faudra pas oublier de placer des embauchoirs en cèdre rouge pour absorber l'humidité afin qu’elle ne stagne pas dans le cuir.

Surtout, ne faites jamais sécher vos chaussures près d’un radiateur, les embauchoirs s’occupent de tout.  
Crème nettoyante :
Comme votre peau, le cuir a besoin d’être hydraté de temps en temps. Je conseille d’appliquer une noisette de crème nettoyante sur vos chaussures une fois par mois. Cela permet à la fois de retirer toutes les impuretés et de nourrir le cuir.
 

Bonus :

Si vous souhaitez donner un aspect plus noir à vos chaussures, vous pouvez, après avoir passé votre crème nettoyante, appliquer du cirage noir qui donnera encore plus de contraste à votre chaussure. Et si cela ne vous plait pas, ce n’est pas irréversible, vous pouvez retirer ledit cirage en renouvelant l’application de la crème nettoyante.