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Paul - Chaussures Mocassin Daim Léopard
Paul - Chaussures Mocassin Daim Léopard
Paul - Chaussures Mocassin Daim Léopard
Paul - Chaussures Mocassin Daim Léopard
Paul - Chaussures Mocassin Daim Léopard
Paul - Chaussures Mocassin Daim Léopard
Paul - Chaussures Mocassin Daim Léopard
Paul - Chaussures Mocassin Daim Léopard

Paul - Chaussures Mocassin Daim Léopard

310.00€ Prix Max Sauveur
330.00€ Prix du marché
fin de la vente dans:
Début de la précommande le 26 mars à 10h paires commandées

Cuir de veau grainé
Semelle Commando garantie à vie (oui, à vie)
Fabriquées au Portugal 
Confortables, souples et polyvalentes

 


AUTRES COULEURS DISPONIBLES


Le Mocassin, la chaussure homme en Daim Léopard avec semelle commando.

Découvrez l'élégance des chaussures en daim, fabriquées à la main à Guimarães, la capitale européenne de la chaussure. Nos chaussures offrent un confort immédiat grâce à leur garnissage en liège et sont conçues pour durer toute une vie. Dotées d'une doublure en cuir de vachette et d'un montage Goodyear Storm Welt imperméable, elles sont entièrement ressemelables. Leur semelle commando robuste assure une adhérence fiable. Optez pour l'excellence du cuir et de l'artisanat portugais

DETAILS
  • Cuir en veau velours motifs léopard marron - Zabri, Italie
  • Doublure en cuir de veau
  • Fabriquées à la main à Guimarães, au Portugal, la capitale européenne de la chaussure.
  • Montage Goodyear imperméable
  • Semelle commando robuste
  • Semelle intérieure en cuir entièrement doublée.
  • Immédiatement confortable grace à son garnissage en liège et garantie à vie
Histoire du penny loafer

Élaboré par les Amérindiens il y a plus de 5000 ans, le mocassin est probablement le modèle de chaussure le plus vieux du monde.

Sa légèreté permettait à ces derniers de chasser discrètement en forêt.

Depuis maintenant quelques années, cette forme a relativement évolué et le mocassin est devenu cette élégante chaussure sans lacet.

On peut distinguer aujourd'hui 3 variations qui font d’elle une forme iconique.

Le mocassin à pampilles, le Driving loafer (car shoe) et le Penny Loafer.

deJe pourrais vous écrire un roman sur ces 3 familles mais je préfère m’attarder sur le modèle qui nous intéresse, le Penny Loafer.

Cette version est une réinterprétation des mocassins norvégiens (la chaussure des pêcheurs scandinaves) par les Américains au début des années 1930 et notamment par la marque G.H Bass.

Elle est reconnaissable par l'espace situé sur la pièce de cuir au niveau du cou-de-pied (appelée barrette). Cet espace rond était idéal pour insérer une pièce comme un penny ...d’où le nom Penny Loafer.

Etrange en effet... laissez moi vous raconter la suite.

Un modèle iconique pour négocier des traités et faire le MoonWalk

Le Penny Loafer fut rapidement adopté par les collégiens américains sur les campus accompagnant le style Ivy League.

Le président J.F Kennedy en était l’ambassadeur avec ses lunettes de soleil, son blazer tombant et son pantalon ample en lin blanc taillé parfaitement à ses mocassins.

Michael Jackson en était lui aussi dans un autre style, un emblématique représentant, avec ses chaussettes à paillettes.

Au fil des années, ce mocassin est devenu l’une des chaussures indispensable dans une garde robe à tel point qu’il concurrence dans les vestiaires, les modèles habillés comme le Richelieu ou le Derby.


L'anatomie du Super moc' Paul


Une forme qui s’adapte à tous

La forme du mocassin Paul, c'était notre 1er défi.

Dans une paire de chaussure, la forme c'est la base qui définit tout ce qui va suivre… pourtant, on a tendance à l'oublier.

Dans notre cas, il nous fallait une forme qui allie confort, solidité… mais sans faire chaussure de papy ou de randonnée.

Un peu perdus après nos 3 premiers prototypes, j’ai demandé conseil au king, Armindo (notre chef d’atelier).

En évoquant les mots “aisance” et “confort” au niveau du cou-de-pied, Armindo m’a immédiatement orienté vers la toute première forme que son père a conçue dans les années 50, au début de la création de l’atelier.

A l’époque, un homme avait dans son vestiaire qu’une seule paire de chaussures : il avait donc intérêt à être bien à l’intérieur !

Alors, bien sûr, cette forme, il fallait la mettre au goût du jour, et c’est ce que nous avons fait, au courant de quelques nuits blanches avec Rudy …

Le résultat ?  une forme qui respecte l'héritage du mocassin, aussi confortable qu’un chausson… avec le style en plus !

Petits, grands, larges, fins, volumineux... elles conviendront à tous les pieds.

 

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Une couleur Sauvage (Grr)

Concernant la tige... on s'est fait plaisir avec un daim léopard dans une palette de camels et marrons qui vous permettra de l'associer avec bien plus de tenues que vous ne le pensez !

Ce cuir, je l'ai remarqué quand j'ai fait une visite dans mon atelier au Portugal l'été dernier… il était entreposé sous une pile de rouleaux de cuirs… malgré ce grand bazar, il m’a sauté aux yeux...

  • La taille des taches ni trop grosses, ni trop petites... c’est parfaitement équilibré sur une basket.
  • Le mélange de couleurs « cappuccino », du beige, du marron, du noir et du tabac… qui permettra de l'associer avec bien plus de tenues que vous ne le pensez !
  • Et enfin le grain du cuir suédé ! Le poil du cuir est coupé à la bonne taille ce qui donne plus de caractère à la sneaker. J'ai toujours bavé sur ce motif, et je rêvais d'en faire des sneakers.

Alors oui, c'est osé, mais vous vous ferez remarquer tout en discrétion.

Pelle Leopardo de chez Zabri

Notre veau velours léopard vient de la tannerie Italienne mondialement connu, Zabri.

J’aime particulièrement leurs gamme de veau velours.

ls arrivent à chaque fois à trouver la bonne balance pour leur coloris.

Avec l'expérience, j’ai compris que trouver un bon veau velours n’est pas aussi simple que ça en a l’air...

Si le veau velours (partie du cuir qui est côté chair) est mal brossé, on se retrouve avec un coloris qui tend vers le gris tristoune.

Ici, nous avons laissé le poil un peu plus longs pour un côté plus authentique et soyeux (ça évite aussi le côté cheap que l’on voit parfois).

Évidemment, le cuir est déperlant et question entretien à long terme, cela sera méga simple : un petit coup de brosse crêpe pour coiffer le poil, un peu d’imperméabilisant de temps à autre et basta.

Une semelle d'alpiniste de 1937... totalement remise au goût du jour !

 

Paul m’avait parlé lors de nos échanges d’une semelle d'alpiniste italienne qu’il adore.

C’était l’une des premières semelles commando, la carrarmato créée par Vibram en 1937.

Mais malheureusement, Vibram ne la propose plus dans son catalogue...

Pour être franc, je ne voulais pas partir sur la carrarmato pour 3 raisons :

  • Elles étaient vraiment balaises (genre encore plus balaises que la semelle de nos Luca !)
  • Ensuite, les délais de livraison étaient trop longs du côté de la marque Vibram pour prendre un modèle similaire à l'original. Hors de question de vous faire patienter 4 mois !
  • Enfin je voulais innover en créant une semelle sur-mesure pour sublimer la vision de Paul (et aussi pour me faire un kiff : ça fait longtemps que je voulais créer MA propre semelle comme toutes les grandes maisons, même si ça coûte un peu plus cher.)


    Armindo m’a présenté un petit atelier proche du sien à Guimaraes, spécialisé dans la confection de semelles. Cet artisan s’est rapproché le plus possible du modèle original rêvé par Paul.

    Nous avions trouvé (enfin, créé) la perle rare, une semelle sur-mesure retravaillée reprenant l’ADN de la semelle carrarmato qui fait vibrer Paul.

    En plus de cela, nous avons réussi à alléger la semelle avec un caoutchouc moins lourd que l'originale pour améliorer le confort et la souplesse (heureusement on a fait des progrès depuis 1937 !)

 

Un cousu rare et complexe :
le Goodyear Stormwelt… Flex

La semelle a beau être souple mais sans un bon montage cela ne sert à rien.

C’est comme monter les roues d’un 4x4 LandRover sur une Fiat 500, ça n’a pas de sens.

Alors on a fait un truc assez cool, un truc de geek de la chaussure.

Un GOODYEAR FLEX.

A l’origine, le goodyear est un montage qui se veut “généreux” avec ses doubles coutures, ce qui nous arrangeait bien en terme de style.

En revanche, avec ses deux couches de cuir, le goodyear n’est pas vraiment flexible...

Et le problème s’aggrave quand on passe du “Goodyear” au “Goodyear Stormwelt” ( = c'est-à-dire quand on rajoute ENCORE une bande de cuir au montage, ayant pour objectif de rendre la chaussure totalement étanche…)

Fatalement, toutes ces couches (double semelles Goodyear + la couche du Stormwelt) rendent le mocassin aussi flexible qu’une barre de fer.

Mais c'était sans compter sur la magie d’Armindo !

Armindo a innové pour garder toute la solidité d’un cousu Goodyear sans perdre pour autant la souplesse avec un montage de génie, qu’il a appelé Goodyear Flex.

Nous avons donc combiné différents procédés de montages et de matériaux afin de rendre votre mocassin aussi souple que robuste.

Je ne vais pas vous dire qu'on est les seuls à le faire mais très peu d'ateliers se lancent dans ce genre de montage car il demande beaucoup de savoir-faire (105 étapes manuelles) et peut devenir un gouffre financier si il est mal maîtrisé.

Évidemment, ce n’est pas notre cas car nous travaillons avec les pionniers du montage Goodyear au Portugal. Aucune crainte à avoir.

C’est ce montage qui nous garantit la bonne balance entre souplesse et robustesse.

 

Trépointe (= contour de la semelle) bien large, pour un mocassin plus “rebelle”

Pour appuyer ce côté “military” de notre semelle, nous avons doté la Paul d’une large trépointe.

Sans cette trépointe, le mocassin pouvait paraître trop lisse.  

Lorsque vous regardez la paire du dessus, vous avez l’impression que la semelle s’étale sur chaque côté.

Nous avons demandé à l’atelier d’élargir les standards de trépointes qu’ils avaient l’habitude de poser…

Et nous sommes vraiment très contents du résultat.

La trépointe donne un volume à la paire et l’assoie juste comme il faut : on a alors une paire ni trop fine, ni trop imposante, parfaitement équilibrée.

 

 

Doublure cuir pour absorber l'humidité

Le confort sera présent également à l’intérieur de la chaussure.

Nous avons choisi de doubler l’intérieur de la chaussure avec une semelle en cuir de veau, tout doux, qui absorbe l’humidité de vos pieds et les garde au chaud.

Nous partons du principe que vous porterez cette paire souvent, alors autant qu’elle soit confortable non ?

Car avec des mocassins, il est tout à fait possible d’être pieds nus … mais ça, je vous en parle plus bas.

 

 

Fabriquées au Portugal

La confection de ce blucher est confiée à un atelier familial situé au Portugal, non loin de Porto.
 
Les 125 étapes nécessaires à la fabrication de la paire de chaussures sont réalisées à la main, par des artisans expérimentés, qui travaillent dans cet atelier parfois depuis plus de 40 ans.
 
Aucune chance pour nous d’être déçus de la qualité de chaque paire qui en sort.
 
Cet atelier, je le porte dans mon "coracaõ", je le fréquente depuis que je sais marcher... alors plutôt que d'écrire une lettre d'amour, j'ai préféré tourner une vidéo qui te raconte mon idylle.

Que faire maintenant ?


Livraison et retours

LIVRAISON

En France métropolitaine la livraison en point relais est de 7,5€ et 15€ pour une livraison à domicile, que vous preniez 1 ou 10 paires de chaussures.
Rdv sur la page Livraison & Retours pour plus d’informations.


RETOUR

Les frais de retour sont à la charge du client dans le cas où vous souhaitez un remboursement. Ils sont à notre charge dans le cas des avoirs, si vous souhaitez échanger une taille ou commander un autre produit.
Rdv sur la page Livraison & Retours pour plus d’informations.

Quelle pointure choisir ?

Le Paul chausse normalement.

Si vous avez déjà une paire Max Sauveur prenez une demi pointure inférieure par rapport à votre pointure habituelle.

  • Par exemple si vous possédez une paire de Boots Wayne en 42, sélectionnez un 41,5.

Si c'est votre première paire de Max Sauveur, prenez votre pointure habituelle.

  • Si vous êtes entre 2 pointures, prenez une demi pointure inférieure. (Par exemple vous faites 27,4 cm prenez un 42,5)
  • Si vous portez des semelles orthopédiques, prenez la taille au dessus.

(Note : tout ceci vaut uniquement pour les chaussures de ville... ne prenez JAMAIS en référence votre pointure “basket”)

“Et si je suis vraiment perdu ?”

Comme j’aime le vrai service, on peut discuter de votre pointure via e-mail à hello@maxsauveur.com

Ça vous permettra de ne pas vous tromper et je l’espère, de trouver la pointure parfaite.

(Avant de m’écrire, suivez la procédure via ce lien pour mesurer votre pied cela me permettra de vous donner un conseil précis)

comment bien les entretenir ?

Des embauchoirs, toujours :
 
Je le répète toujours, de bons embauchoirs permettront à vos souliers de conserver leur forme le plus longtemps possible.
Sachant que cette paire est faite pour braver les intempéries, il ne faudra pas oublier de placer des embauchoirs en cèdre rouge pour absorber l'humidité afin qu’elle ne stagne pas dans le cuir.

Surtout, ne faites jamais sécher vos chaussures près d’un radiateur, les embauchoirs s’occupent de tout.  
Brosse crêpe :
 

Avant de protéger votre paire, il est recommandé de la dépoussiérer à l'aide d'une brosse crêpe. Cette opération a pour objectif de rendre le cuir prêt à l'entretien en lui enlevant toute trace de poussières et autres résidus en surface.

Imperméabilisant :

Le velours est un cuir retourné, c'est pourquoi il apparait moins lisse, plus velouté. Ce cuir nécessite un entretien particulier pour faire face à l'eau et à l'humidité. Il est recommandé d'utiliser un spray imperméabilisant de manière régulière pour le protéger contre les intempéries.